Face à une offre de logements qui se raréfie et une demande en constante augmentation, se loger à Port-au-Prince est devenu un véritable parcours du combattant. L’intensification des violences des gangs et les déplacements massifs de la population ont plongé la capitale haïtienne dans une crise sans précédent.
Pour les plus vulnérables, les camps de déplacés internes représentent souvent leur seul refuge. Les plus chanceux trouvent un abri temporaire chez des amis, des proches ou des voisins. Mais pour ceux qui en ont les moyens, la location semble être une option, bien que celle-ci soit désormais freinée par des loyers qui flambent.
Elliot, résident de Christ-Roi depuis 7 ans, est à la recherche d’un nouveau logement depuis plusieurs semaines.
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